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La Tunisie a essayé de s’intégrer dans le marché européen et aux chaînes de valeur, afin d’attirer les industries textiles, automobiles, aéronautiques, mécaniques et plastiques. Cette décision de tourner vers l’Europe a été doublement désavantageuse pour la Tunisie, car le pays souffre désormais non seulement du ralentissement économique de son principal partenaire économique, mais encore du marché africain.

Les choix de développement

L’un des changements les plus importants survenus au cours des deux dernières décennies est l’importante croissante des chaînes de valeur mondiales dans la gestion et la coordination des relations entre les pays et les industries manufacturières. Cela a entraîné une tendance à la fragmentation de la production et à une augmentation du commerce entre les pays. Ces pays en cours de développement ont commencé à changer leur gouvernance de la production..

Une façon de faire face à ces changements est de développer les chaînes de valeur régionales de manière coopérative, tant en Afrique du Nord que dans le reste du continent, créant ainsi des avantages comparatifs nouveaux et dynamiques et accélérant la diversification stratégique et la sophistication accrue de ses économies.

Aujourd’hui, la croissance africaine est forte. Elle s’appuie sur la consommation privée et l’investissement est soutenu par une classe moyenne en croissance. D’ici à 2020, plus de 30 millions d’Africains auront rejoint la classe moyenne et dépenseront plus de la moitié de leur revenu sur les dépenses autres que le logement et la nourriture. Cette croissance de la consommation représente un outil puissant pour la transformation structurelle des économies de la région, à mesure que la demande augmente pour les produits manufacturés et pour une large gamme de services. Il est clair que, pour la Tunisie, les leviers de la transformation structurelle de la Tunisie se trouvent en Afrique.

Ouverture au commerce intra-africain

Malheureusement, la Tunisie n’est pas particulièrement bien intégrée au reste du continent. En ce qui concerne sa part des exportations africaines par rapport au PIB, elle se classe au 29eme rang sur le continent. En termes d’investissement, alors que l’un des meilleurs environnements réglementaires en Afrique (4eme en termes de démarrage et d’exploitation d’une entreprise locale), la Tunisie se classe 28ème en termes d’attractivité pour l’investissement étranger. Par conséquent, si on considère les chaînes de valeur régionales, la Tunisie occupe la 21eme place en termes de part des exportations totales de biens intermédiaires en Afrique.

Accord de libre-échange continental

Ainsi, l’Accord de libre-échange continental, dont les négociations ont été lancées en juin 2015 au Caire et qui entrera en vigueur en 2017, favorisera l’exportation de produits manufacturés tunisiens. Ces produits, qui représentent actuellement près de la moitié de leurs exportations (48%), devraient augmenter à 2,3 milliards de dollars (soit une augmentation de 6,8%) d’ici 2020. Ce chiffre serait doublé (à 4,4 milliards de dollars) si les mesures de facilitation du commerce ont été promulguées, ce qui a accru de 25 pour cent l’efficacité des procédures administratives liées au commerce. Avec ces réformes, la part des produits manufacturés dans les exportations de la Tunisie vers le reste du continent augmenterait encore et constituerait la majeure partie de ses exportations.

Un accord similaire avec les autres pays de la Ligue arabe encouragerait les exportations de produits miniers, tandis que le renforcement de son Accord d’association avec l’Union européenne serait plus susceptible de stimuler les exportations de produits agricoles.

Ces résultats indiquent clairement que la Tunisie, comme les autres pays de la région, doit veiller à ce que ses accords commerciaux soient mis en œuvre dans une séquence stratégique avantageuse pour les entreprises qui exportent des produits industriels manufacturés de plus en plus sophistiqués et créent des emplois modernes dans les centres urbains. Cela impliquera aussi des réformes de facilitation des échanges et des investissements dans des infrastructures durables et souples, principalement orientées vers le commerce intra-africain.

Le contrat de cession d’un bloc d’actions de l’entreprise GIF Filter a été fait par les deux parties, dont le groupe MZABI, d’une part et Loukil Investment Group d’autre part, le 23 septembre 2013. La société a proclamé le jour suivant qu’elle n’est plus sous le contrôle des actionnaires du groupe MZABI notamment ARTIMO, Immodev et DALMAS. Désormais, Loukil détient une part dépassant les 65 % du capital de GIF Filter, qui est équivaut à 6 707 748 actions.

Défi de haut degré

Consacrée à la conception et vente des filtres pour automobile notamment les filtres à essence, à gasoil, à huile et à air, la société GIF Filter jouissait auparavant du contrôle du groupe MZABI. Mais, depuis quelques jours, elle devient à disposition du groupe Loukil avec une transaction correspondant à 25,308 millions de dinars, soit environ 7 millions d’euros. À noter que Leoukil Investment Group qui est constitué de plusieurs sociétés reparties en plusieurs domaines (industrie lourde, consulting, communication, environnement, agriculture et d’autres) a été créé en 1976 par Mohamed Loukil. Outre la Tunisie, cette grande firme est construite dans de nombreux pays africains pour ne citer qu’Algérie, Mali et Côte d’Ivoire. Selon les classements, elle figure parmi les 5 premiers groupes connus par l’essor à travers le territoire tunisien. Son ampleur est favorisée, en 2000, par la naissance d’une enseigne consacrée à la vente d’ordinateurs et de téléphones et, en 2009, par la création d’Electra qui est une société spécialisée en son, image et électroménager.

L’ex-actionnaire de l’entreprise GIF Filter

La cotation des actions de l’entreprise a dû être suspendue par le Conseil du marché durant le jour de la signature du contrat entre les deux parties et a été reprise le jour suivant. Le Groupe Mzabi qui est constitué de plusieurs sociétés, dont Moncef Mzabi est nommé Président Directeur Général, a vu le jour en 1947. Son ambition reste le même que depuis sa création : assurer le développement des sociétés pérennes et compétitives qui peuvent dépasser les compétences d’autres grandes sociétés internationales. Le groupe est constitué de nombreuses entreprises telles qu’ARTES SA composé de trois grandes sociétés, dont ARTEGROS, AUTRONIC et ADEV.

Moncef Mzabi, le Président directeur général de nombreuses entreprises du groupe Mzabi, est également créateur d’emplois pour les chômeurs et les jeunes diplômés. La promotion de diverses marques, comme Autronci, Tanneries Mégisseries de Maghreb… est aussi son œuvre. Dans le domaine du tourisme, il dispose de 7 hôtels de haut standing.

Comme il est un important acteur économique, il ne néglige pas le tourisme dans le développement de l’économie tunisienne. Moncef Mzabi contribue également aux actions caritatives qui cherchent à donner un nouveau souffle aux métiers des futures générations en parrainant les étudiants. Hormis ses interventions dans le domaine de l’immobilier, du monde financier et de la commercialisation des voitures, il opère également dans les chambres mixtes du marketing et occupe une grande place auprès de certaines banques et différents établissements financiers.

En mettant en avant le perfectionnisme

Les aptitudes et la dextérité de Moncef Mzabi se découvrent au travers de la performance du groupe Mzabi créé en 1935. Il a hissé très haut le patrimoine familial afin qu’il tienne la première place dans la liste des importantes entreprises tunisiennes. Ne voulant pas se fier au hasard, il conduit tous ses projets au succès en utilisant des arguments reposant sur le perfectionnisme.

Les activités qu’il lance connaissent toujours un développement puisqu’il est constamment en quête des innovations. Son mot d’ordre est la rigueur dans l’exécution de ses projets. Quand Renault Tunisie avait rencontré des difficultés et était sur la voie de la faillite, Moncef Mzabi était parvenu à la sauver. L’entreprise détient aujourd’hui 3 succursales. Il regroupe par la suite la société Renault à la commercialisation de NISSAN et DACIA.

Mais, Moncef Mzabi ne néglige pas le domaine social

Business Man à plusieurs capacités et juriste de formation, Moncef Mzabi est également fondateur des Chambres mixtes et de Commerce tenant une grande place dans le secteur de l’économie. En outre, il s’occupe de maintes missions auprès du Conseil économique et social. Étant membre du Word Economic Forum (Davos) et Consul honoraire d’Irlande à Tunisie, il préside aussi l’Association Amitié Tunisie-France.

Les prouesses, les succès et les compétences de Moncef Mzabi dans le monde des affaires sont multiples, mais il est aussi très connu dans le monde social. Ce domaine appartient à ses priorités c’est pourquoi il fait partie des actionnaires des groupes caritatifs qui ont pour but de prendre part au développement de l’économie tunisienne. De plus, il a contribué à l’instauration de la majorité des associations dédiées aux œuvres de bienfaisance en Tunisie.

Une video pour vous inspirer:

Tous les managers souhaitent devenir comme exemple en matière de réussite en affaires. Toutefois, très peu d’entre eux peuvent atteindre leur objectif qui est de faire briller leur carrière à travers le monde entier. Devenir référence en réussite entrepreneuriale est possible, sous réserve de respecter les stratégies indispensables, les comportements idéaux et les qualités essentielles d’un bon manager.

Les techniques pour développer son entreprise

La persévérance constitue une qualité indispensable en matière de création d’entreprises. Outre le comportement positiviste, des stratégies doivent être adoptées : il faut suivre à la meilleure manière un plan stratégique. Pour pouvoir jouir d’une croissance, il faut la planifier à l’avance. Il est donc hors de question d’attendre la réussite venir tout seul. En effet, un bon manager sollicite des services de conseillers financiers compétents. La préparation annuelle des prévisions financières ne doit pas aussi être omise, afin d’assurer l’évaluation de tous les besoins en matière de financement. En ce qui concerne le choix de financeurs, l’idéale est de se baser sur les besoins et de veiller à ce que les objectifs concordent aux leurs.

L’organisation : un élément essentiel pour assurer la réussite de son business

Une bonne organisation évite le désordre dans la gestion d’entreprise. Cette qualité qui rime parfaitement avec l’engagement permet d’apporter de bons résultats sur le développement de la société et l’encouragement des salariés. Il est ainsi très important de savoir discerner les priorités ouvrant vers la réussite. Il y a lieu de remarquer que les hommes célèbres dans le monde des affaires comme Moncef Mzabi n’ont pas consacré leur temps aux domaines non-intéressants qui n’ouvrent pas vers le chemin de la réussite.

Moncef Mzabi : l’homme riche en prouesses

Opter pour une référence en affaires et suivre ses parcours constitue un meilleur moyen pour assurer la réussite entrepreneuriale. De nombreux futurs hommes et femmes d’affaires optent pour Moncef Mzabi qui est le directeur de nombreuses sociétés du groupe Mzabi, en matière de référence. Cet homme d’affaires tunisien a pu diriger de nombreuses entreprises et participer massivement au développement économique de son pays, grâce à ses prouesses, son comportement positiviste et aux relations qu’il a créées durant ses études à Paris. L’Association d’amitié France-Tunisie est actuellement placée sous sa direction. À l’aide d’un système de parrainage, il assure la carrière des jeunes. Moncef Mzabi offre également des aides matériels aux plus pauvres tout en étant membre des associations caritatives. En outre, cet homme intellectuel possède 7 hôtels de haute catégorie.

La création entrepreneuriale est un domaine accessible à tout le monde. Avec une base de créativité allant de pair avec certaines qualités indispensables, dont la confiance en soi et la persévérance, vous pouvez bel et bien rencontrer la réussite en affaires.

Ciblez le domaine de votre passion

Parce que vous allez consacrer du temps à cette future entreprise, vous devez ne choisir que les domaines qui vous passionnent. Cette passion vous aide, ainsi, à réaliser à la meilleure manière toutes les techniques relatives au lancement et au développement de votre entreprise. N’optez donc que pour un business et un secteur que vous appréciez réellement.

Privilégiez les techniques vous permettant de trouver des clients

Trouver des clients juste après le lancement de son entreprise est plus que possible. Il ne faut donc pas attendre jusqu’à ce que la nouvelle société soit réellement mise en place et opérationnelle.
En effet, une société ayant déjà des clients avant l’ouverture officielle de ses portes a tant de chances de survivre et de réussir. Pour y parvenir, utilisez différentes techniques, comme la prise des contacts et la distribution gratuite des produits et services à titre d’essai.

Soyez professionnel dès le départ

Les hommes d’affaires tunisiens, comme l’exemple de Moncef Mzabi, veillent à ce qu’ils se montrent professionnels dès le départ. Cet homme intellectuel met l’accent sur le danger du fait de donner d’importantes places aux stress.
Il n’hésite pas à prodiguer des conseils aux jeunes entrepreneurs en soulignant que chacun doit avoir une capacité à gérer avec sérieux et professionnalisme une entreprise. Il a même révélé les principaux secrets, dont la création et la diffusion très tôt des business cartes, de numéros de téléphone, etc.

Évitez de vous lancer seul

Vous disposez, peut-être, des compétences nécessaires dans le domaine auquel vous souhaitez vous lancer. Toutefois, vous devez faire appel à un bon soutien de vos proches et/ou des professionnels dans l’univers de la création d’entreprises.
Ces derniers pourront vous prodiguer de précieux conseils liés à résolution d’éventuels obstacles dans les différentes étapes vers l’essor de l’entreprise.